Cet ouvrage traduit le ressenti d’un marcheur-pèlerin qui s’est engagé à 72 ans avec sa femme sur El Camino après les décès « paisibles » de ses deux mères.Les premières rencontres sont enrichissantes, le chemin est dur physiquement. L’émerveillement est aussi grand devant l’attitude des « Accueillants »qu’à la découverte des panoramas, édifices et sites… Chaque soir, le marcheur lit des versets de l’épître de Jacques et prend des notes.Jusqu’au bout ce fut un mélange d’heures riches, de partages et …de tensions, voire de saines colères et rejets ainsi que beaucoup d’interrogations ! Mais le positif du vécu l’emporte sur la réalité du Subi ! Par contre tout ce qu’il avait à brûler l’était sans qu’il n’ait besoin d’aller à Fisterra. Le Combat cessa à Compostelle.Il reste une Joie profonde d’avoir réalisé ce Chemin .Les contacts sincères perdurent depuis deux années, tant avec des amis pèlerins qu’avec des accueillants.