Dans l'ombre de la guerre, Maria, que Dieu te bénisse d'exister tisse le récit poignant d'une famille déchirée par le conflit. Steven Moman, pilote américain, doit son salut à Maria, une femme au courage inébranlable. Séparés par les tumultes de l'Histoire, ils tracent des chemins divergents : lui, vers les ruines de Berlin, elle, vers la quiétude d'une librairie parisienne, où sa fille Ruana côtoie, dans un Paris mystique, des personnages légendaires. Tandis que Maria lutte pour survivre, Steven, frappé d'amnésie, entame une quête désespérée à travers une Europe déchirée.

Un roman où l'amour défie le temps et la mémoire, où chaque page est un pas de plus vers l'espoir d'une réunion impossible.

Albert Frendza est un écrivain belge né en Transylvanie en 1970 et vit actuellement en Belgique. Il est déjà l'auteur de Sol Major (Éditions RAO Books, 2002) et de NE. VOIE A.CUM (Éditions RAO Books, 2009). Il a également republié son premier roman de manière indépendante sur Amazon.com sous le titre The Women Who Built Atlantis.

Maria, que Dieu te bénisse d'exister tire son inspiration d'un périple de 60 jours à bord d'un navire de croisière, suivant inlassablement la même route méditerranéenne, durant plusieurs semaines. En observant ses compagnons de voyage, il médite sur une intrigue : et si aucun d'entre eux ne possédait de talent, de succès ou de charme, mais que, à un moment critique, des sosies surgissaient, surpassant toutes leurs attentes ? Telle est l'histoire de l'auteur et ce roman en est l'incarnation.