Après seize ans d’absence, Howard Lejeune, brillant archéologue, resurgit dans la vie de Margaux. Des lettres égarées ont jadis contrarié leur amour. Cette fois, Howard propose à Margaux de venir l’assister sur le chantier de fouilles qu’il dirige en Syrie. Margaux redécouvre Howard, sa foi dans la chronologie et, surtout, son grand défi intellectuel: élucider le mystère de la mort d’un célèbre roi du pays de Sumer.

Dans la chaleur et la poussière du Proche-Orient, entourée d’une équipe haute en couleur, Margaux se trouve confrontée à un dilemme qu’elle n’aurait jamais imaginé. Où se situent pour elle les limites de l’amour, de la morale et de la déontologie ?

Margaux peut-elle accepter de se sacrifier pour Howard, ce scientifique modèle qu’elle adule depuis l’université, qu’elle considère tel un miracle dans sa vie, pour le meilleur et… pour le pire ?

À travers cette aventurière malgré elle sur laquelle plane l’ombre d’un meurtre en Mésopotamie, Marie-Ève Sténuit trame une originale histoire de passion très contemporaine autour de la tombe d’un guerrier disparu il y a plus de quatre mille ans.

Marie-Ève Sténuit est née à Uccle (Bruxelles) en 1955. Historienne de l’art et archéologue, elle passe beaucoup de son temps à l’étranger, notamment en Indonésie et en Syrie. Entre deux périodes de fouilles, elle vit à Bruxelles. Le tombeau du guerrier est son cinquième roman.

points forts

– Un roman qui transmet l’espoir de réussir sa vie quand on la croit déjà perdue.

– Un roman dont l’histoire se déroule en Syrie, pays sur lesquels sont braqués les feux de l’actualité. Avec une toute autre vision que celle véhiculée par les média.

– Une approche originale et très savante, tout en restant accessible, du travail de l’archéologue.

– Un questionnement subtil sur l’héritage de l’histoire et les leçons que l’on peut en tirer.

– Une forte histoire d’amour et d’aventure au féminin qui renoue avec le talent déployé dans Les Frères Y, premier roman très remarqué en son temps de Marie-Ève Sténuit.