Préface de Lucien Rebatet.Hommage d’un adversaire qui paraît inconcevable aujourd’hui. Du talent, Pierre-Antoine Cousteau – PAC pour les amis – en avait assurément, pratiquant l’art de la litote assassine avec un brio peu commun. Pilier de Je suis partout, il rejoint, après la guerre et les années de prison, l’équipe de Rivarol.En ce temps-là…, publié un an après sa disparition prématurée, contient, outre ses souvenirs de journaliste, son journal de condamné à mort. Un document rare, réédité pour la première fois avec, en guise de préface, ce poignant « Testament et tombeau de Pierre-Antoine Cousteau » dû à son compagnon d’infortune, Lucien Rebatet.