Les meilleures énigmes en chambre close, de Conan Doyle à Maurice Leblanc Avec Double Assassinat dans la rue Morgue d’Edgar Allan Poe (1841), naît un nouveau genre au sein de la littérature criminelle : le « crime en chambre close », qui va connaître un engouement, mettant à l’épreuve nos raisonnements cartésiens. Encore aujourd’hui, le roman d’énigme demeure plus vivace que jamais, s’enrichissant sans cesse de nouveaux talents.Dans cette anthologie, Roland Lacourbe offre une sélection des meilleurs textes de 1897 à 1977, signés de maîtres du suspense : Le Suicide de Kiaros (1897), de Frank L. Baum. – Les Diamant disparus (1897), de M. McDonnell Bodkin. – L’Homme volatilisé (1901), d’E. T. Meade et Robert Eustace. – Dans la boule de cristal (1906), de Jacques Futrelle. – Le Mystère Doomdorf (1914), de Melville Davisson Post. – Le Problème du pont de Thor (1922), d'Arthur Conan Doyle. – La Chambre de la mort (1922), de Frederick Irving Anderson. – Thérèse et Germaine (1923), de Maurice Leblanc. – Le Vengeur ailé (1924), de Gilbert Keith Chesterton. – L’Indice de la feuille de thé (1925), d’Edgar Jepson et Robert Eustace. – Assassinat programmé (1936), de C. St. John Sprigg. – Du mouron pour les petits poissons (1953), de Joseph Commings. – Le Mystère du clocher de Noël (1977), d’Edward D. Hoch.