Une petite peinture portative, une icône peinte à l’or de mots d’amour : tel est ce portrait du Christ, très peu conforme à l’imagerie des églises, le portrait d’un homme incarné, loin du bruit et de la puissance, parmi les hommes.

Réimpression de l'ouvrage, d'abord paru en 1995, et manquant depuis un an.
«L’humain est ce qui va ainsi, tête nue, dans la recherche jamais interrompue de ce qui est plus grand que soi. Et le premier venu est plus grand que nous : c’est une des choses que dit cet homme. C’est l’unique chose qu’il cherche à faire entrer dans nos têtes lourdes. Le premier venu est plus grand que nous : il faut détacher chaque mot de cette phrase et le mâcher, le remâcher. La vérité, ça se mange...»