RUINE DE L'UNIVERSEL, COMMUNISME ET NATIONALISME DANS L’ARCHITECTURE DU BLOC DE L’EST
De GEORGI STANISHEV
Metis
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«Ruine de l'universel, Communisme et nationalisme dans l’architecture du bloc de l’Est»
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Présentation
Avec Ruine de l’universel, Georgi Stanishev aborde de manière inédite le thème de la fin du projet soviétique et porte un nouveau regard sur la période de la Guerre froide. Dans le but de raconter les conflits idéologiques internes aux pays du bloc de l’Est communiste et leurs expressions architecturales, il interroge la notion d’«architecture socialiste» et déconstruit la caricature de son homogénéité. Se dévoilent ainsi la constitution et la représentation des mythes et des discours de légitimation qui ont accompagné l’affirmation d’une culture qui se voulait universelle et sa lente ruine, dans un affrontement féroce avec les nationalismes particuliers. En cherchant à lire l’évolution et la fin du projet communiste par le biais de l’architecture, l’auteur analyse de nombreux cas singuliers, des hybrides inédits entre l’utopisme survivant et le nationalisme militant. De cette approche particulière émerge l’indépassable problématique que pose encore aujourd’hui, dans notre présent post-utopique, l’identité comme principe de distinction et de reconnaissance de l’architecture. L’observation de ces imaginaires et de leur cartographie complexe contribue dès lors à révéler une nouvelle facette de la relation entre architecture et idéologie dans le contexte du 20e siècle.